D’origine belge, Cécile Müller est pianiste, pédagogue et auteure du livre « La Musique au Piano » Lauréate de ARTS2 (Conservatoire Royal de Musique de Mons) et de l’École Normale de Musique de Paris, remporte le Concours Günther à l’âge de onze ans, le Prix Tenuto en 1977 (Radio-Télévision Belge), le Concours Emmanuel Durlet (Anvers, 1979) et le Concours International d’Epinal (1985). Elève de Simone De Clippel, de Diane Andersen, de Serge Petitgirad, de Pierre Sancan et de György Cziffra, Prix de la Fondation de la Vocation, elle a participé à Live Music Now, fondé par Yehudi Menuhin.
Michel Béro : Sacha (en souvenir). (dédié à Cécile Müller, Jacques Vigneras et Paolo del Vecchio)
Frédéric Chopin : Nocturne (opus 9 n°1)
Marcel De Jonghe : Prélude Gnossienne
Frederik van Rossum : Conte Bleu op. 24 n°2 (dédié à son fils Emmanuel)
Cécile Müller : Petite pièce tendre
D’Aubat Saint Flour : La Malice
D’Aubat Saint Flour : Les Bûcherons (Anciennes chansons et danses de Flandre,version pour piano d’Emmanuel Durlet)
d’Aubat Saint Flour : Les Bergers (Anciennes chansons et danses de Flandre, version pour piano d’Emmanuel Durlet)
Frédéric Chopin : Valse (opus 34 n°2)
Frédéric Chopin : Berceuse (opus 57)
Claude Debussy : Clair de Lune
Julien François Willemot : 1ère Aquarelle
Frederik van Rossum : Eglogue (opus 24 n°1) (dédié à son fils Olivier)
Frédéric Chopin : Valse inédite en la mineur (manuscrit découvert en 2024)
Franz Schubert : Impromptu opus 90 n°3 D899
Michel Béro : Chrysobéryl (dédié à Cécile Müller)
Joseph Jongen : Soleil à Midi (opus 33 n°2)
d’Aubat Saint Flour : Paysannerie (Anciennes chansons et danses de Flandre, version pour piano d’Emmanuel Durlet)
Jean-Marie Simonis : Historiette (opus 24 n°1)
Lili Boulanger : D’un jardin clair
Cécile Müller, piano
S'émerveiller, se laisser charmer et séduire par ces diamants à découvrir ou à redécouvrir, et qui font partie de l'univers musical de Cécile Müller.
L'Hommage à la Vie qu'elle nous propose avec ces oeuvres coup de coeur, et qui mènent de l’ombre à la lumière, de la tristesse à la joie, du poids de certaines réalités à la légèreté de la sérénité.
Et toujours la pensée que, depuis le moment qui précède les premiers battements d’un coeur... jusqu’au lieu où subsistent ses résonances, on peut ressentir un amour qui nous dépasse et nous porte vers l’infini.
A écouter sans modération : pour le plaisir d'aller à la rencontre du Beau.