Fru¨hlingsgruß, opus 56, nr. 1
Adagio quasi fantasia, op 12
Lied ohne Worte, op 13 n° 1
Lied ohne Worte, op 13 n° 2
Zart, sehr gebunden, op 2 n° 5
Nicht zu schnell, op 7 n° 6
Mädchenhaft, schu¨chtern, op 7 n° 1
Allegro, op 17 n° 2
Vivace, op 17 n° 10
Legende, op 18 n° 1
Legende, op 18 n° 7
Romanze, op 22 n° 5
Romanze, op 22 n° 1
Sehr erregt, op 25 n° 6
Leise und ruhig, op 25 n° 2
Allegro, op 25 n° 7
Elegie, op 37 n° 3
Con passione, op 61 n° 1
Lento, op 61 n° 3
Albumblatt, op 80 n° 1
Albumblatt, op 80 n° 8
Albumblatt, op 80 n° 9
Confidences, op 96 n° 1
Andante, op 96 n° 3
Jean Dubé, piano
Fürchtegott Theodor Kirchner, né le 10 décembre 1823 à Neukirchen, près de Chemnitz, et mort à Hambourg le 18 septembre 1903, fut compositeur, chef d'orchestre, organiste et pianiste allemand de la période romantique, auteur de nombreuses œuvres pour piano, orgue, et musique de chambre.
Ses oeuvres comportent plus de cent numéros d’opus, principalement des pièces pour piano (plus d’un millier) mais aussi des trios et duos et de nombreuses transcriptions, quelques pièces d’orgue et de chant choral. Sa musique, très personnelle, reflète généralement une atmosphère dramatique et tourmentée, sans toutefois tomber dans le lyrisme. Les dissonnances et les chromatismes y sont fréquents. Il a transcrit Beethoven, Mendelssohn, Schumann et Haydn. Interprète hors pair des oeuvres de Schumann et Liszt, ceuxci le tenaient en haute estime, de même que Richard Wagner.
Sa musique, qui se situe quelque part entre Schumann et Brahms, se révèle assez personnelle. Sans épanchements lyriques ou vocalités à la Chopin, elle brosse toujours des tableaux aux subtiles variations de couleurs, des atmosphères nocturnes délicates ou tourmentées, jamais faciles ou racoleuses.