01 La Fabuleuse Histoire de... 4:12
02 Goe 4:30
03 Cherubino 1:39
04 Ayana 5:10
05 Il Viscomte Dimezzato 2:43
06 Guru 3:51
07 Profondo Rosso 8:52
08 Kuun Laulu 3:55
09 A Life of Suffering 4:02
10 Listen to the Mermaids 3:23
11 Still Frenzy 5:23
12 Walking Andy Suite 4:03
13 What is Love 1:17
Phil Reptil guitares (acoustique et électrique), bouzouki, loops, sound design, tuned glasses & textes
Carole Agostini guitare électrique, voix
Nosfell chant & textes
Claude Tchamitchian contrebasse
Étienne Gaillochet batterie
Macdara Smith voix & textes
Sophia Domancich piano
Simon Goubert batterie
En marge de tous les formats, de toutes les chapelles, Phil Reptil compositeur-réalisateur-interprète travaille depuis plus de 30 ans à un art extrêmement élaboré. Résolument underground, cavalièrement libre, il est un authentique inventeur. Son alchimie virtuose puise à toutes les musiques. Il dispose avec brio des vocabulaires rock, psychédélique, techno, free punk, jazz, proto metal. Il circule avec aisance dans toutes ces esthétiques.
Phil Reptil appartient à la confrérie des conteurs musicaux.
Éponyme est une suite poétique sortie d’un de ses nombreux rêves. Pour la première fois dans sa discographie, Phil Reptil choisit de ne pas user des contrastes sonores extrêmes qui sont habituellement sa signature. Il déroule ses nouvelles histoires en continu, dans une atmosphère de tranquillité et de douceur, un voyage onirique construit en treize étapes, comme un long métrage, où s’épanouissent splendidement ses connivences avec le cinéma et la littérature.
Avec Nosfell, chanteur expérimentateur des plus singulier, il trouve un partenaire idéal pour exprimer ses rêveries dans deux chansons - Goe et Guru - aux forts accents pop. Macdara Smith, narrateur trublion déjà entendu à ses côtés avec Zarboth, distille sa poésie écorchée dans le très électro et très cinématographique Ayana et la mélopée poignante de A Life of Suffering.
Avec Simon Goubert, Claude Tchamitchian et Sophia Domancich, il se plonge pour la première fois et au plus haut niveau dans les éblouissements de l’interplay et passe très naturellement avec eux du Free Rock au Free Jazz sans jamais perdre le fil de son récit, dans Profondo Rosso et Kuun Laulu.
A la manière d’un Bill Frisell, ses guitares multicolores savent aussi jouer avec le silence et l’espace. Éponyme permet d’entendre une très grande palette acoustique et électrique dans de petites ou longues pièces en solo - Walking Andy Suite, What is Love, Cherubino. Étienne Gaillochet, complice batteur de toutes les aventures et Carole Agostini, délicate interlocutrice dans le duo d’ouverture La Fabuleuse Histoire de..., complètent un casting sur mesure.