Chopin Les dernières oeuvres, Dmitry Ablogin, piano

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    Prélude, Op. 45

    Nocturne, Op. 62 No. 2

    Valse, Op. 64 No. 3

    Mazurka, Op. 50 No. 3

    Impromptu, Op. 51

    Ballade, Op. 52

    Mazurka, Op. 50 No. 2

    Waltz, Op. 64 No. 2

    Berceuse, Op. 57

    Nocturne, Op. 48 No. 1

    Polonaise-Fantasie, Op. 61

    Nocturne, Op. 9 No. 2

     

    Dmitry Ablogin, piano Pleyel 1848

    Le nouvel album de la série « The Real Chopin » est un récital unique de Dmitry Ablogin, finaliste du 1er Concours Chopin sur instruments d’époque, un piano Pleyel qui appartenait autrefois à Chopin.

    Doué d’une sensibilité remarquable, le pianiste a été le premier à s’asseoir au piano récemment restauré de la collection de l’Institut Chopin. Le Pleyel de 1848 est le dernier instrument où Chopin créa des chefs-d’œuvre dans son appartement parisien. Le son de l’instrument ajoute une saveur unique aux Mazurkas, aux Valses, aux Nocturnes, aux Préludes, à la Ballade en fa mineur et à la Polonaise-Fantasie. Un récital émouvant d’œuvres composées dans la dernière décennie de la vie du compositeur.


    Camille Pleyel prêta à Chopin un des plus beaux instruments sortis de son atelier. Ce sera l’ultime piano du compositeur, qui regagna les salons du facteur après sa mort le 17 octobre 1849. Deux années où le grand meuble le suivra Cours d’Orléansrue Saint-Lazarerue de Chaillot et finalement Place Vendôme où Chopin expira, et sur lequel il composera ses ultimes opus.

    Ce piano aura connu bien des vicissitudes, passant deux fois la Manche dans un vaste coffrage, de Paris à Edimbourg puis d’Edimbourg à Varsovie, subissant les outrages durant l’Occupation nazie, puis rapté pour être emmené en Bavière avant d’être rendue à la Pologne en 1946, mais sans la chaise que Pleyel avait conçue aux mesures de Chopin.

    Miracle, des soins patients et avertis ont conservé toutes ses beautés : aigus de harpe éolienne (écoutez les pianissimos irréels du Prélude, Op. 45), médium au timbre d’alto, graves lestes, c’est toute la poétique naturelle de l’univers Chopin qui rayonne sous les doigts amoureux, caressants, subtils de Dmitry Ablogin ; jamais il ne force ce clavier naturellement éloquent pour mieux en faire chatoyer l’arc-en-ciel.

    Et soudain, on croit entendre Chopin

     

    Référence

     NIFCCD149

    Label

     INSTITUT FREDERIC CHOPIN