Sammartini Sonates pour flûte vol.1 /

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    Concerto à Flauto solo, e Basso fa majeur [Parma No.9]

    Sonata à Flauto solo, e Basso sol mineur [Parma No.10]

    Sinfonia à Flauto solo, e Basso fa majeur [Parma No.6]

    Sonata à Flauto solo, e Basso si bémol majeur [Parma No.13]

    Sonata à Flauto solo, e Basso fa majeur [Parma No.8]

    Sinfonia à Flauto solo, e Bass ut mineur [Parma No.14]

    Sinfonia à Flauto solo, e Basso fa majeur [Parma No.12]

     

    Andreas Böhlen, flûte à bec

    Michael Hell, clavecin

    Daniel Rosin, violoncelle

    Pietro Prosser, luth    

    Aujourd’hui, le plus connu des deux frères Sammartini est Giovanni Battista Sammartini (1700/01-1775), qui joua un rôle décisif dans le développement du style classique. Son frère aîné Giuseppe (1695-1750) a laissé derrière lui des compositions qui, hormis un concerto pour flûte à bec soprano et cordes, ont souffert d’une négligence qu’elles ne méritent pourtant guère. En effet, le célèbre historien de la musique anglais du XVIIIème siècle Sir John Hawkins proclamait déjà en 1776 qu’il « était un compositeur admirable, dont la musique instrumentale mériterait de figurer aux côtés de celle de Corelli et de Geminiani sans faire la moindre offense à ces derniers ».

    Giuseppe Sammartini était le fils du hautboïste français Alexis Saint-Martin, qui s’était installé à Milan vers 1690.

    Les sept pièces présentées ici offrent un bon aperçu de son style – ou plutôt de ses styles car il est rapidement passé des méthodes de composition de la fin du Baroque aux méthodes « galantes » (préclassiques). S’il y a bien un élément que ces œuvres ont un commun, quel que soit leur style, c’est leur caractère imprévisible : le compositeur nous surprend sans cesse, tant sur le plan de la mélodie que de l’harmonie et du rythme, surtout dans ses mouvements lents. De plus, il est toujours moderne dans le sens où ses lignes de basse sont généralement beaucoup plus simples que les parties solistes, et parfois assez découpées. Les termes « sonate », « symphonie » et « concerto » sont généralement interchangeables dans les œuvres pour flûte à bec de Sammartini, car celles-ci ne comportent pas de différences remarquables dans la structure.