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24 Caprices pour mandoline seule
Vincent Beer-Demander, mandoline
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Support | CD |
En 1819, les éditions Ricordi publient pour la première fois les 24 Caprices pour violon de Niccolo Paganini, concentré de difficultés techniques extrêmes qui inspirera un grand nombre de compositeurs tels que Schumann, Liszt, Brahms ou Rachmaninov...
Vladimir Cosma a déjà enrichi le répertoire concertant de mandoline avec le Concerto Mediterraneo pour mandoline et orchestre, la Fantaisie concertante pour mandoline et cordes, la Suite populaire pour mandoline et accordéon, le Triptyque pour quatuor à plectres et les 16 Duos pour mandoline et guitare, composés entre 2015 et 2018. C’est à la mandoline seule que sont dévolus les 24 Caprices de concert, qui présentent un ensemble unique consacré à l’instrument, par ses proportions, son ambition à la fois virtuose et expressive. Dédiée, comme les pages déjà citées, à Vincent Beer-Demander, l’œuvre est conçue comme un hommage et une référence aux 24 Caprices pour violon seul (1820) de Niccolò Paganini (1782-1840).
Les 24 Caprices de concert, composés en 2018, se présentent comme un tout organisé, un cycle dont la conception se révèle éminemment personnelle. Chaque caprice est complémentaire de ceux qui l’encadrent, et la succession des tonalités, des tempi, des nuances répond à cette nécessité d’architecture globale qui fait de l’œuvre non pas un simple recueil aux numéros interchangeables, mais une progression continue dont chaque étape nourrit la suivante.
Chaque caprice reprend le nom d’un personnage ou le d’un thème de film pour lesquels Vladimir Cosma écrivit la musique, comme par exemple le 24ème caprice tiré du Grand blond avec une chaussure noire. Humour, brio, légèreté de ton qui ne contredit nullement la densité musicale, tels sont les axes principaux de cette page pleine d’alacrité qui couronne ce cycle unique en son genre, appelé à devenir une pierre de touche du répertoire dévolu à l’instrument.